velib’ | un logo qui déraille

J’aurais pu aussi bien intituler cette chronique, «velib’» des couleurs à la dérive…

Voici sur le site de la Mairie de Paris le logo original dans toute sa splendeur… on sent tout de suite que l’esprit vélo souffle sur les design managers de la Mairie et Decaux Inc. Du moment qu’il s’agit de vélo… point n’est besoin de réfléchir au design stratégie de la marque… et puis de toute façon il n’y a pas de concurrent… enfin pas tout de suite ;-) Le monopole induit l’indolence des responsables qui se croient tout permis du moment qu’ils se considèrent dans l’air du temps, portés par la tendance néo-bio-fin du monde (de l’automobile)… un logo, ça sert à rien… les stations sont là pour faire acte de présence et marquer leur territoire…

Alors je ne vous ennuierai pas avec le choix plus que pénible de la typographie de cette marque… des graphistes fatigués de pédaler avant même d’avoir essayé un branding digne du monde contemporain… Toutefois, si j’avais été à la direction de la comm, voire à la place du Maire, j’aurais confié ce logo à une agence de design Hollandaise plutôt qu’à des Français qui n’ont pas trop la culture du vélo bien encrée…

C’est tout de même curieux que l’on n’ait pas profité de l’occasion alors que l’idée du velib’ est tout de même assez formidable, pour tenter une vraie démarche créative, aussi bien pour le design des vélos (qui ressemblent plus à des chars d’assaut digne de la ligne Maginot qu’à des vélos contemporains et créatifs ) ainsi que pour le design de la marque velib’ qui aurait pu faire l’objet d’une vraie recherche un peu moins amateur que ce manuaire à peine plus élégant qu’un comic sans… terriblement, terrible ;-)

Mais l’objet de ce billet ne concerne pas vraiment la forme mais plutôt le choix de la chromie du logo.

Six signes typographiques, six caractères, apostrophe compris, chacun exprimé dans une couleur différente. Ci-dessous, vous trouverez le logo qui figure sur le site de velib’. Sur fond blanc. Puis juste en-dessous vous trouvez six photographies de détail sur les vélos où l’on s’aperçoit que les couleurs employées n’ont plus grand chose à voir avec l’original. Si l’orange du <v> est à peu près respecté, le <e> est totalement trahi pour un cyan <descendu> à 30-40%, de même que le <l> pour un magenta plus flashy, un <i> qui hésite entre un jaune et un vert plus foncé que l’original, quant au <b> il est franchement différent, tantôt proche d’un blue reflex, tantôt d’un Pantone 314C. Qu’est ce qui ne fonctionne pas dans tout cela…? La réponse est simple et s’impose au premier regard…

L’utilisation de six couleurs vives, primaires ou complémentaires, fonctionne bien sur fond blanc et sur fond noir — Cf les essais que j’ai réalisé ci-dessous en Helvetica Neue Bold (afin de m’extraire des contingences typographiques en prenant un caractère assez neutre (d’après Wim Crouwel)).

Mais dès lors que vous plaquez ces couleurs sur un fond gris, les teintes viennent à lutter avec les equidensités similaires… Pourquoi ce phénomène… Je ne vous apprendrai pas qu’une couleur est constituée de deux paramètres, sa teinte et sa tonalité…

La première concerne la pigmentation ou longueur d’onde sur le spectre lumineux. La deuxième, le ton concerne sa densité ou sa valeur exprimée sur une échelle de gris. Pour vous rendre compte du phénomène, il suffit de regarder le logo original en clignant les yeux jsuqu’à voir disparaître la vivacité des couleurs et ne plus voir que des valeurs de gris… En l’occurence c’est assez difficile, du fait de la vivacité des couleurs… mais vous pouvez tout de même essayer… Ce n’est pas probant?

Alors je vais maintenant vous inviter à en faire de même avec mes essais du logo sur les fonds gris ci-dessous… Où l’on aperçoit que, sur les figures {3} {4} et {6}, la tonalité du fond vient systématiquement en équidensité avec l’une ou l’autre des lettres colorées du logo. Ce qui en rend la lecture parfaitement illisible. La figure {6} reprend d’ailleurs approximativement la couleur de fond d’origine de la peinture des velib’s.

Ce qui fait que l’on peut maintenant deviner sans trop de difficulté que la création d’origine n’avait sans doute pas prévu la déclinaison du logo sur autre chose que fond blanc ou noir. Les tests n’ont assurément pas du être fait, sinon même un enfant de quatre ans vous aurait dit que cela ne fonctionnait pas. Il suffit de regarder les photos, les logos sont illisibles sur les cadres.

Bon j’arrête là mes critiques pour ce jour, et ne croyez surtout pas que je n’aime pas le concept de ces vélos… une véritable révolution urbaine, qui connaîtra j’en suis sûr un succès grandissant. Mon regret au fond est simplement de voir qu’une fois de plus les pouvoirs publics ont raté l’occasion de marquer l’évènement par une vraie création graphique digne de ce nom.

1

2

3

4

5

6

Expérience… clignez des yeux en examinant chacun de ces logos sur un fond différent, et vous verrez les seuils d’illisibilité apparaître dès lors que la densité du fond se rapproche de la tonalité de l’une ou l’autre des lettres.

Les photographies sont d’Elisabeth Gabor

English translation by Google

© design & typo | août 2007

Publié dans Les Logos, Typographie et typographies | Commentaires fermés sur velib’ | un logo qui déraille

L’histoire du Graphisme en France | Le Wlassikoff

C’est avec l’aimable autorisation de Michel Wlassikoff que je publie aujourd’hui une version de son magnifique ouvrage consacré à l’histoire du Graphisme en France. J’en ai déjà parlé lors de précédents billets, mais aujourd’hui je peux enfin vous montrer l’intégralité du livre sur les galeries pédagogiques de Design et Typo. Celui-ci est pour lors épuisé (NUMÉRO ISBN 978-2901422648). Peut-être trouverez-vous des exemplaires d’occasion chez Amazon. Voici donc quelques unes des pages les plus spectaculaires que vous retrouvez sur plus de 700 pixels de large dans la galerie qui lui est consacré.

Publié dans Ouvrages et Expressions | Commentaires fermés sur L’histoire du Graphisme en France | Le Wlassikoff

Google Analytics | interface d’audience intelligent

J’avais souvent cherché des compteurs d’audience intelligents, c’est-à-dire capables de ne pas comptabiliser vos propres visites, de faire la différence entre visiteurs uniques et visites tout court, capables aussi d’exclure les robots qui viennent polluer vos stats, ainsi que de vous donner des chiffres référents par référents… Google analytics qui a racheté Urchin il y a quelques temps, dispose aujourd’hui d’un des plus puissants moteur d’analyse d’audience… bien sûr l’interface peut encore évoluer et prendre de la maturité.

Des représentations 3D ou des tableaux plus élégants… mais l’un des modules les plus intéressants du moteur est sans doute celui qui vous permet de comparer des trafics chronologiques. Il suffit de cliquer dans un bouton et vous obtenez alors une deuxième fenêtre chrono que vous déplacez et étirez à votre convenance… plages irrégulières ou au contraire identiques, éloignement des époques analysés ou bien au contraire chevauchement de deux périodes, tout semble si facile et rapide que ç’en devient presque un jeu.

Ce qui m’a permis d’obtenir un chiffre par exemple… que la fréquentation du mois d’août est inférieur environ de 20% à celle du mois de juillet, mais de près de 50% comparé au mois de juin… Bravo à vous donc, ceux qui lisez ce billet, c’est que vous êtes encore là ou déjà là… allez bonnes vacances à tous ceux qui sont sur la plage ou à New York!

Publié dans De la Modernité, Méthodologie | Commentaires fermés sur Google Analytics | interface d’audience intelligent

A, B, C, X, Y, Z | signes et symboles

Avez-vous remarqué combien l’Y est une lettre pittoresque qui a des significations sans nombre? — L’Arbre est un Y; l’embranchement de deux routes est un Y; le confluent de deux rivières est un Y; une tête d’âne ou de bœuf est un Y; un verre sur son pied est un Y; un lys sur sa tige est un Y; un suppliant qui lève les bras au ciel est un Y. Au reste cette observation peut s’étendre à tout ce qui qui constitue élémentairement l’écriture humaine. Tout ce qui est dans la langue démotique y a été versé par la langue hiératique.

L’hiéroglyphe est la racine nécessaire du caractère. Toutes les lettres ont d’abord été des signes et tous les signes ont été d’abord des images. La société humaine, le monde, l’homme tout entier est dans l’alphabet. La maçonnerie, l’astronomie, la philosophie, toutes les sciences ont là leur point de départ, imperceptible, mais réel; et ce la doit être. L’alphabet est une source. A, c’est le toit, le pignon avec sa traverse, l’arche, arx; ou c’est l’accolade de deux amis qui s’embrassent et qui se serrent la main; D, c’est le dos; B, c’est le D sur le D, le dos sur le dos, la bosse; C, c’est le croissant, c’est la lune; E, c’est le soubassement, le pied droit, la console et l’architrave, toute l’architecture à plafond dans une seule lettre;

F, c’est la potence, la fourche, ƒurca; G, c’est le cor; H, c’est la façade de l’édifice avec ses deux tours; I, c’est la machine de guerre lançant le projectile; J, c’est le soc et c’est la corne d’abondance; K, c’est l’angle de réflexion égal à l’angle d’incidence, une des clefs de la géométrie; L, c’est la jambe et le pied; M, c’est la montagne, ou c’est le camp, les tentes accouplées; N, c’est la porte fermée avec sa barre diagonale; O, c’est le soleil; P, c’est le portefaix debout avec sa charge sur le dos; Q, c’est la croupe avec la queue; R, c’est le repos, le portefaix appuyé sur son bâton; S, c’est le serpent; T, c’est le marteau; U, c’est l’urne; V, c’est le vase (de là vient qu’on les confond souvent);

je viens de dire ce que c’est qu’Y ; X, ce sont les épées croisées, c’est le combat; qui sera vainqueur? on l’ignore; aussi les hermétiques ont-ils pris le X pour le signe du destin, les algébristes pour le signe de l’inconnu; Z, c’est l’éclair, c’est Dieu. Ainsi, d’abord la maison de l’homme et son architecture, puis le corps de l’homme, et sa structure et ses difformités; puis la justice, la musique, l’église; la guerre, la moisson, la géométrie; la montagne; la vie nomade, la vie cloîtrée; l’astronomie; le travail et le repos; le cheval et le serpent; le marteau et l’urne, qu’on renverse et qu’on accouple et dont o fait la cloche; les arbres, les fleuves, les chemins; enfin le destin et Dieu, — voilà ce que contient l’alphabet.

Victor Hugo

Publié dans Galaxie Gutenberg, Opinions et Im-pertinences, Typo | Histoire, Typographie et typographies | Commentaires fermés sur A, B, C, X, Y, Z | signes et symboles

Construire l’image d’une marque | Mercedes Erra

Mercedes Erra a donné une conférence à l’Université de Tous Les Savoirs (UTLS) le 8 juillet 2007.

Parcours
– 1977 : maîtrise de lettres à la Sorbonne
– 1978 : Capes de lettres
– Diplômée de l’école des Hautes études commerciales (HEC)
– Directrice générale de Saatchie-Saatchie
– Co-présidente puis présidente de l’agence Euro RSCG
– Depuis 2000 : présidente de BETC Euro RSCG
– Depuis 2002 : présidente de l’Association des agences de conseil en communication (AACC)

(informations datées de 2002)

Spécialités
Ancienne professeur de lettres, Mercedes Erra est devenue l’une des plus grandes spécialistes françaises de communication publicitaire. Elle est ainsi amenée à s’intéresser et à s’interroger sur la création publicitaire et développe, à travers des interviews et des interventions, des réflexion sur le rôle de la beauté dans nos sociétés contemporaines.

Distinctions
Chevalier de la légion d’honneur

Video 1

Video 2

Video 3

Video 4

Publié dans De la Modernité, Opinions et Im-pertinences, Typographie et typographies, Videos | Commentaires fermés sur Construire l’image d’une marque | Mercedes Erra

Design: cold, rigid and implacable, who am I ?

Of my earliest ancestry neither history nor relics remain. The wedge-shaped symbols impressed in plastic clay by Babylonian builders in the dim past, foreshadowed me: from them, on through the hyeroglyphs of ancient Egyptians, down to the beautiful manuscript letters of the medieval scribes, I was in the making. With the golden vision of ingenious Gutenberg, who first applied the principle of casting me in metal, the profound art of printing with movable types was born. Cold, rigid, and implacable I may be, yet the first impress of my face brought the Divine Word to countless thousands. I bring into the light of day the precious stores of knowledge and wisdom long hidden in the grave of ignorance. I coin for you the enchanting tale, the philosopher’s moralizing, and the poet’s phantasies; I enable you to exchange the irksome hours that come, at times, to every one, for sweet and happy hours books-golden urns filled with all the manna of the past. In books, I present to you a portion of the eternal mind caught in its progress through the world, stamped in an instant, and preserved for eternity. Through me, Socrates and Plato, Chauer and the Bards, become your faithful friends who ever surround and minister to you. I am the leaden army that conquers the world; I am type!

Frederic W. Goudy

Publié dans De la Modernité, Galaxie Gutenberg, Opinions et Im-pertinences | Commentaires fermés sur Design: cold, rigid and implacable, who am I ?

Typographie & Web: une définition moderne

L’architecture commença comme toute écriture. Elle fut d’abord alphabet. On plantait une pierrre debout, et c’était une lettre, et chaque lettre était un hiéroglyphe, et sur chaque lettre reposait un groupe d’idées comme le chapiteau sur la colonne.

Ainsi, jusqu’à Gutenberg, l’architecture est l’écriture principale, l’écriture universelle. Ce livre granitique, commencé par l’Orient, continué par l’antiquité grecque et romaine, le moyen âge en a écrit la dernière page.— L’architecture a été jusqu’au quinzième siècle le registre principal de l’humanité.

Au Quinzième siècle tout change. La pensée humaine découvre un moyen de se perpétuer non-seulement plus durable et plus résistant que l’architecture, mais encore plus simple et plus facile. L’architecture est détrônée. Aux lettres de pierre d’Orphée vont succéder les lettres de plomb de Gutenberg. Le livre va tuer l’édifice. L’invention de l’imprimerie est le plus grand événement de l’histoire.

Sous la forme imprimerie, la pensée est plus impérissable que jamais; elle est volatile, insaisissable, indéstructible. Elle se mêle à l’air.— De solide qu’elle était elle devient vivace. Elle passe de la durée à l’immortalité. On peut démolir une masse, comment extirper l’ubiquité?

Victor Hugo

Publié dans De la Modernité, Galaxie Gutenberg, Opinions et Im-pertinences | Commentaires fermés sur Typographie & Web: une définition moderne

Le site de Moby | pourquoi j’aime les gifs animés

Le website de Moby (via Coudal). Au fond à force de vous présenter des éléments visuels en gif, j’y ai découvert une vraie passion… non que ce soit un format idéal, loin de là… mais lorsqu’on examine la home en flash de Moby et que l’on doive survoler le banc pour y découvrir l’artiste-chanteur dans des postures variées, on s’aperçoit bien qu’il manque une dimension, le mouvement. Ainsi donc en partant des mêmes éléments on peut leur donner vie différemment… cela change bien plus que la scéno., le sens de même s’en trouve dévié, pas altéré, mais dévié vers d’autres valeurs. D’ailleurs on voit bien qu’en ralentissant le-dit gif nous arrivons encore à un autre résultat… on n’a pas fini d’explorer ce format à mon sens, plein de possibilités d’expression et un avantage certain, la visibilité la plus large dans tous les websites et blogs y compris. C’est bien d’ailleurs l’usage de typepad puis maintenant de WordPress qui m’a obligé de m’orienter vers la diffusion de gifs. Bien des affichages étaient au départ interdits et même encore aujourd’hui l’exportation en .swf pourtant très simple est à proscrire dans les blogs, les agrégateurs et certains navigateurs (je pense à Safari ou IE parfois) ne supportant pas trop bien l’animation flash. Ne ratez pas son site ainsi que ses travaux d’illustrations … ;-)


Publié dans Création plastique, De la Modernité, Méthodologie, Typographie et typographies | Commentaires fermés sur Le site de Moby | pourquoi j’aime les gifs animés

la mode des websites «timeline»

L’une d’elles s’appelle tout simplement 8timeline, pas inintérressant au demeurant…


Mais au fond qu’est-ce que c’est, le nième bon coup, après You Tube, Daily et FaceBook, pour lancer un concept pauvre à large bande passante qui ne peut avoir pour seul objectif que de se faire racheter un jour par Google (au hasard). Le concept même de timeline est une tautologie dès que l’on examine un événement sous son angle historique.
Mais il y a des timeline riches, et des timeline pauvres un concept riche veut dire que l’auteur examine un événement au regard de plusieurs autres catégories d’événements parallèles… exemple d’un timeline riche celui de la vie de Robert Lincoln Leslie, un éminent contributeur et humaniste de la Composing Room de New York. On y découvre sa vie mise en parallèle avec les événements historiques et culturels de notre histoire. Les sites de timeline «poor» ne sont rien d’autres qu’une mise en perspective chronologique de la vie d’une œuvre, d’un homme (ou femme lorsqu’il s’agit de Britney Spears) ou d’événements sportifs… Une sorte de tableur où l’on examine un seul item sur une échelle de temps univoque et sans mise en perspective.

Cependant si je m’insurge contre les modes pauvres c’est aussi pour des raisons philosophiques d’engagement personnel. Prenez par exemple 8timeline, vous allez dans la rubrique explore more timeline … et vous cliquez sur la rubrique biography… c’est alors que le site prend une tournure aberrante… premièrement on vous propose d’emblée un classement des bios par le mode «the most viewed» et au lieu d’y découvrir la bio d’Einstein ou de Jean-François Porchez, vous y lisez au premier rang celui d’Adolphe Hitler. C’est tout de même 1) rageant, 2) d’une vulgarité crasse, 3) à la limite du politiquement correct. Les fondateurs de ces sites s’en foutent, du moment qu’ils engrangent de l’audience donc de la valeur de revente pour leur site. Mais dans un environnement culturel, historique et humaniste, de voir ainsi émerger la vie d’un homme qu’on voudrait n’avoir jamais connu me semble une injure aux familles des victimes de la Shoah et à l’humanité toute entière. J’aurais personnellement admis d’y voir la vie de Bertrand Russell ou de Simon Wiesenthal ou encore celle d’un Wallenberg qui sauva des milliers de juifs hongrois des camps de la mort et qui disparut sans laisser de trace dans une russie stalinienne qui a toujours nié sa capture par l’armée rouge. Non, la première biographie qui surgit devant mes yeux c’est celui du personnage maudit du troisième Reich… si j’étais à la tête d’une association internationale de lutte contre le racisme j’aurais déjà déposé plainte contre ce site pour atteinte à l’éthique humanitaire. Pour vous montrer un exemple de timeline que je trouve infiniment plus intéressante, c’est celui que nous avons publié ici sur Design et Typo sur l’histoire des écritures modernes. A propos la bio d’Albert Einstein… je l’ai cherché sur le site, et pas trouvé. Nenni.

ciquez pour agrandir à 800px de large.

Publié dans Opinions et Im-pertinences, Typographie et typographies | Un commentaire

Design & Typo | les articles les plus lues au cours des trente derniers jours

Dans l’ordre exact des billets ci-dessous, voici le classement des articles les plus lues sur Design & Typo au cours des trente derniers jours. J’espère simplement que d’ici dimanche soir le billet sur Westvaco période 1953-1955 fera parti du palmarès, sinon je ne vois vraiment pas pourquoi je me donne tant de mal à vous faire partager la mémoire graphique du siècle précédent ;-) pas en colère, juste un peu désabusé.

dessins caricatures de Gerard Hoffnung, l’inventeur du Festival éponyme.

Expo Rock ’n’ Roll 39-59 à la Fondation Cartier | SNCF un logo dyslexique | i-phone-main.jpg | Garamond vs Garamond | L’image de marque des Partis Politique | typographie introuvable | Custodia | plagiat or not plagiat | Google Maps vs Pages Blanches | I Phone ou Adobe suite CS3 | Conseil pour une image en roll over dans un blog | typographie et design | la couleur et la forme | Helvetica : Apple vs Orange | Franz Ferdinand et Crazy | Graphisme et typographie | Les clips les plus créatifs de l’année | Web accessibilté | un excellent article | Super-Script_com | des Wallpapers en css | Silence 3.0: gueulante | un billet à lire chez Francis Pizani | La Typographie et l’Imprimerie | 500 ans | Flags and colors | Le Type Design en danger | la démission d’Hermann Zapf de l’ATypI | Typographic Communications Today | Edward Gottschall | La terre se meurt, un film-alerte de Jean Druon | Un générateur de CSS qui teste et calcule vos interlignages | Typographies et playmates | Liens graphiques en vrac | à vous de chercher | Hevetica vs Helvetica | reloaded | Du graffiti sreet au graf’interactiv | un temps pour la détente | Institute of Modern Science | poptronics | un nouvel espace pour l’art contemporain | Section Seven Inc | Silverlight et Mootools | Stiletto Design Studio for Print and Motion | Adobe CS3 dispo enfin | David Carson | the guy’ who killed graphic grids | Homework in Copenhagen | fashion and graphic design | Arrobase ou Arrobe | l’origine du signe @ | Champ Fleury par Geofroy Tory | numérisation catastrophe de la BNF | Une journée sans, en Grouch ITC | Schéma et schématisation | un média qui demande réflexion | Rodchenko, Stepanova, Paul Schuitema, Georgi et Vladimar Stenberg, El Lissitzky | Orson Whales | une anim’ graphique with Led Zeppelin inside | Le premier Second Life était déjà un jeu | Tron (1982) de Walt Disney Pictures | Une autre Venise par Anne Maigret | photographe | Shitdisco, le rythme et le graphisme + un bonus: Anga Díaz percu-didactique | |

Publié dans Galaxie Gutenberg, Opinions et Im-pertinences | Commentaires fermés sur Design & Typo | les articles les plus lues au cours des trente derniers jours