Comment faire un Gif animé avec Photoshop | tutorial

typographie du gif animé
ou gif animé de la typographie

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Pour visionner correctement la Vidéo de cette tuto il faut absolument utiliser le lien ci-dessous (en 1024 pixel de large):

http://www.typogabor.com/Video/tuto_gif_animpgH264.mov

Diffusion au format Flash (très agréable) à partir de lundi sur le site magnifique de Wisibility .

Petites précisions du lundi: j’ai omis de parler de la possibilité de régler le nombre de fois que pourra se jouer l’animation. Ça se passe à gauche sur la fenêtre de l’animation.

Par ailleurs on m’a demandé pourquoi je pars de fichier JPG: juste parce que dans le cas présent Monique, qui n’est pas une invention d’effet de style me disait donc avoir des images JPG à animer. Mais ça m’arrangeait pour le tuto. Because l’on voit ainsi que nous pouvons partir d’autres formats que le GIF pour finalement arriver à du GIF animé. Ainsi donc on pourrait partir de TIF ou EPS etc. Autre chose, je n’ai pas voulu non plus trop parler de la disparition d’Image Ready de la CS3. Une vraie pitié. Fireworks est sans doute très bien, mais c’est une sacré usine à gaz.

Par rapport à la création d’anim sous Photoshop vs ImageReady, ce dernier autorisait l’import de tout un dossier d’images et créait automatiquement des calques avec. Photoshop ne sait importer qu’image par image. Un peu poussif.

Enfin pour ce qui est de l’optimisation j’ai également omis de parler des fenêtres de contrôle de la dernière étape [enregistrer pour le web…]. On peut bien entendu y afficher 3 fenêtres d’optimisation simultanées pour contrôler la dégradation de l’animation selon les paramètres d’optim. Notamment par les deux moyens principaux: la diminution du nombre de couleurs, et la réglette de la perte de qualité.

Pour les photos aux dégradés complexes, nous sommes quasi obligés de garder les 256 niveaux de couleurs et de ne jouer que sur la perte de qualité qui augmente considérablement le ‘grain’ de l’image. Mais pour l’affichage rapide sur le web c’est malheureusement incontournable. Et Flash ne fera pas beaucoup mieux si l’on veut conserver la qualité photographique d’origine. Voilà. Bonne semaine à tous.

Tutorial dédiée à Monique qui j’espère se remettra très vite de son extinction de voix.

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Adidas joue le «souvenir imparfait» des trois bandes de sa marque

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La décision

BRUXELLES (Reuters) – Le groupe allemand de vêtements de sport Adidas a remporté devant la justice européenne une victoire dans la défense de son logo à trois bandes contre les imitations de marques concurrentes.

Mais la Cour de justice de l’UE, qui a rendu jeudi un arrêt très attendu, laisse aux juridictions nationales le soin de déterminer si le consommateur peut être induit en erreur lorsqu’il achète un produit sur lequel figure un logo similaire.

Adidas est titulaire de marques figuratives constituées par trois bandes verticales parallèles qui sont apposées latéralement sur des vêtements de sport et de loisirs, et dont la couleur contraste avec la couleur principale des vêtements.

La firme allemande a porté plainte devant la justice néerlandaise contre les sociétés Marca Mode, C&A, H&M et Vendex, qui commercialisent également des vêtements sur lesquels figurent deux bandes parallèles dont la couleur contraste avec la couleur principale des vêtements.
Adidas a fait valoir qu’il y avait risque de confusion pour les consommateurs, tandis que ses concurrents ont invoqué « l’impératif de disponibilité » par lequel les bandes seraient des signes qui doivent rester disponibles à tous. La Cour suprême des Pays-Bas a demandé aux juges de Luxembourg de l’aider à interpréter le droit européen et ces derniers ont, pour l’essentiel, donné raison à Adidas.

Certes, ont-ils dit, le titulaire d’une marque ne peut interdire à d’autres fabricants l’usage d’indications descriptives au nom de « l’intérêt général » qui consiste à laisser certains signes « disponibles à tous ».
Mais ce principe doit être appliqué « pour autant qu’il en soit fait un usage honnête » et qu’il n’existe pas de risque de confusion dans la perception du public, qui ne doit pas être induit en erreur en pensant qu’il achète un produit Adidas.

« Le simple fait que le public concerné établisse un lien entre les deux suffit », expliquent les juges européens.
Il reste toutefois une marge d’appréciation. « Le juge national doit vérifier si le consommateur moyen peut se méprendre sur l’origine des vêtements de sport et de loisirs sur lesquels sont apposés des motifs à bandes aux mêmes endroits et avec les mêmes caractéristiques que le motif à bandes d’Adidas, à la différence près qu’ils sont composés de deux et non de trois bandes », ont-ils précisé.

Le souvenir imparfait

Plusieurs évènements conjoints et croisés m’ont décidé de publier cette note. D’abord je voulais depuis longtemps faire un billet sur la Couleur et l’idée selon laquelle on puisse ou non déposer pour une marque un coloris ou un jeu de couleurs (dégradé ou pas). J’ai donc contacté Frédéric Glaize du blog Musée des Marques pour l’interviewer sur ce thème assez chaud tout de même. Puis j’ai reçu dans la foulée un mail de l’un de mes clients qui me transmet un document des plus intéressants qu’il résume ainsi:

Aux confins du cerveau, dans les zones inextricables où s’entremêlent les mémoires (mémoire visuelle, association des émotions et des images,…), les scientifiques tentent par tous les moyens de comprendre les mécanismes qui initient des comportements. Très schématiquement résumé, c’est l’un des thèmes de l’étude originale qu’ont menée les chercheurs des universités canadiennes Duke et Waterloo. Ils ont réussi à démontrer qu’une exposition, même extrêmement brève (30 millisecondes), au logo d’une marque, influençait l’esprit. Par exemple, l’exposition au logo d’IBM conduit à des idées conventionnelles et «utilitaires» (lorsqu’on l’associe à une brique, le sujet imagine tout de suite l’utiliser comme «presse papier» ou «butée de porte»). Alors que le logo d’Apple amènera plutôt l’imagination à «penser différemment» (ça tombe bien, puisque «think different» est justement la signature de la marque) : associé à la même brique, le logo d’Apple conduit à des idées plus nombreuses et plus inattendues (ou plus saugrenues ?), comme «l’attacher aux pieds de mon co-locataire et le précipiter dans un lac profond».

Voici le document PDF en anglais des chercheurs des universités Duke et Waterloo .

Encore faut-il que les marques aient remarquablement travaillé leurs logotypes. Pour qu’en cas de contrefaçon les juges n’en retiennent qu’«un souvenir imparfait». C’est le terme utilisé par l’Office communautaire des droits de la propriété intellectuelle, l’INPI européen (siège à Alicante en Espagne).

Le juriste que j’ai interrogé, Frédéric Glaize (Le Petit Musée des Marques) m’a donc expliqué qu’il suffit lors d’un procès en contrefaçon que le «souvenir imparfait» d’un logo corresponde à la contrefaçon pour que le juge puisse décider de l’infraction. Bien entendu chaque juge a sa propre conception du souvenir imparfait.

Cette attitude provient de plusieurs études qui ont été menées lors d’expertises. On a fait notamment plancher des populations tests, pour dessiner de mémoire des logotypes aussi connus que ceux d’Adidas, de Nike, d’Apple, de Carrefour etc. Bien entendu les dessins étaient tous diffférents pour chaque logo. Il en ressortait cependant des constantes maladroites certes, mais que les juges ont défini par «souvenir imparfait». Et voilà qu’un terme aussi approximatif devient un instrument de mesure, là où nous autres designers aurions tendance à faire mesurer la longueur d’onde d’une couleur ou bien à faire se superposer deux calques présumées originales et provenant de la copie contrefaite.

Je ne pense pas que cela contredise l’étude des chercheurs des universités canadiennes. Bien au contraire. Mais cela montre aussi que quelque soit les efforts de perfection que l’on déploie pour exécuter avec rigueur un logotype, une marque, le souvenir en sera toujours imparfait. On pourrait en revanche affirmer, que plus la marque sera exécutée avec précision et rigueur, plus ce souvenir risque d’être clair et nette. Autrement dit c’est précisément parque que nous travaillons sur l’irrationnel mémoriel des «receveurs» que les «émetteurs» sont tenus de paufiner à la perfection leur message. Mais ça on le savait déjà. :-).

Cela dit, cette étude montre également que nous travaillons sur des symboles et… l’inconscient du public, bien plus que sur des formes anecdotiques. C’est donc à la qualité de ce souvenir imparfait que l’on peut mesurer la qualité de notre travail.

Ce qui a fait dire à l’un de mes amis récemment que le nouveau logo de la SNCF correspondait parfaitement au stimulus mémoriel qu’on en attendait. Pas faux, même si nous pouvons en être déçus. Je lui ai bien entendu répondu que si la marque avait été mieux travaillée dans sa forme, le résultat eut été encore plus pregnant. C’est bien de tout miser sur le «carmillon», mais est-ce suffisant? En tous cas à creuser. Il fut un temps où dans les phases du travail, on présentait les premières créations de marque en noir et blanc pour passer à la mise en couleur seulement après validation de cette première étape. Une méthode imparable pour décider d’une forme graphique, devant porter symbole et sens. Désormais révolue, cette méthode n’est plus du tout pratiquée. On présente les créations en couleurs dès les premiers rendez-vous.

Mais qu’en est-il des couleurs?

Deutsche Telekom et Red Bull ont déposé la couleur magenta et la combinaison bleu-argent à titre de marques, interdisant leur utilisation non autorisée aux États-Unis et en Europe. (Des couleurs interdites à l’écran). Bien entendu cela a donné une levée de boucliers pour venir défendre le Magenta, assez désopilant bien sûr, mais pas inintéressant. Plus récemment j’ai pu entendre que la SNCF aurait déposé le «Carmillon» ce fond de dégradé mauve-vermillon qui sert comme décor au logo de la SNCF.

Et encore plus récemment puisque cela date de cette semaine: après la couleur mauve de Milka, Cadbury tente de déposer une couleur Purple, celle de ses décors d’emballage.

La discussion reste ouverte (et j’attends vos commentaires et précisions). Au fond elle porte sur plusieurs thèmes que l’on peut résumer ainsi: une marque est constitué de formes et de couleurs. Elle s’adresse sur le registre de l’activité de la marque à une clientèle plus ou moins large selon le type de produit.

Peut-on déposer une couleur sans l’associer à la forme de la marque ainsi qu’à son branding (déclinaisons archi-packaging-communication)? Peut-on interdire à toute autre marque l’utilisation d’une couleur, dès lors que son champ d’action ne recouvre absolument pas celui de la marque qui revendique cette couleur? Qu’est-ce que ce «souvenir imparfait» et l’approximation qu’il soulève au regard de la multiplication des identités visuelles. Comment déterminer la contrefaçon en partant d’un concept aussi large et subjectif tant il dépend du juge de décider tout seul de ce qu’est la ressemblance à ce «souvenir imparfait»? et de ce qu’est un public à l’inteligence et culture moyenne.

Dans les domaines de la typographie une telle approximation n’eut pas été possible car rien ne ressemble plus à une Garalde qu’une autre Garalde et nombre de dessins se seraient fait retoquer sur ces bases là. Heureusement que la typographie obéit à d’autres règles, droits d’auteur, brevets sur les logicels, droits sur la marque (le nom) etc. La musique idem, est sans doute mieux et plus clairement protégée.

Vous l’aurez compris il s’agit d’une discussion à tiroir. Vous en fermez une, dix autres s’ouvrent en même temps. Mais il s’agit de faire avancer les choses. D’aider les juristes, les designers et le public à mieux comprendre ces phénomènes de société. N’hésitez pas, commentez et argumentez surtout. La seule manière d’en sortir avec un peu de sérieux.

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Synchromy-Norman McLaren (1971)

Adobe serait-il obligé un jour d’ajouter à ses boîtes de dialogues, nuanciers, et sélecteurs de couleur, des avertissements pour couleurs déposées et interdites! Une fiction ou une réalité future?

Un grand merci à Frédéric Glaize sans qui je n’aurais pas pu avoir les idées aussi clairement colorées…

Les trois images ci-dessous pour illustrer les propos que Soheil nous a aimablement posté dans les commentaires.

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Conférence «une histoire du graphisme» aux Arts Décoratifs

J’avais rendez-vous ce matin avec une trentaine d’enseignants de l’Académie de Versailles pour leur dispenser deux heures et demi de conférence sur le sujet. Je voudrais les remercier pour leur accueil chaleureux ainsi que Marc Brunetti et toute l’équipe des Arts Déco qui ont su organiser de main de maître cette réunion.

J’ai bien conscience au travers des réactions des uns des autres de la difficulté d’adapter ces contenus et savoirs dans l’enseignement au quotidien. Le débat qui s’en suivit a effleuré le sujet sans vraiment l’aborder. Toutefois et pour abonder dans ce sens il est certain que l’enseignement des Arts Appliqués dispensé dans des Lycées Professionnels relève d’une véritable gageure. Les mots «Arts Appliqués» portent en elles le germe du mal, puisque les politiques tentent depuis fort longtemps à réduire les cursus professionnels aux contenus les plus pratico-pratiques. Mais à ce moment de la critique et du questionnement de la légitimité de tels programmes, un mot me revient sans cesse, celui de «Design».

Extrait du 4e manuel
«des Cours Fondamentaux
de l’École des Arts Décoratifs
de Bâle, Suisse» (DESSAIN & TOLRA)

Le substantif “Design”…

… il serait tellement plus approprié à nommer les indispensables savoirs «Arts Applis dans chaque filière professionnelle. Le Design est le lien parfait entre la fonction et la forme, entre les signifiants techniques et leur organisation rationalisé. C’est là non une critique mais juste une idée, une suggestion pour aider les enseignants à trouver leurs marques face au désir constant des politiques de démanteler la passation d’une culture nécessaire pourtant à la prise en main de métiers aussi divers qu’électroniciens, mécaniciens, maçons et que sais-je encore. Enseigner le Design en lieu et place des Arts Appliqués serait une manière de donner à ces cours leur dimension universelle et indispensable à une évolution majeure de tous les métiers techniques et de faire couler dans les artères de ces cursus un fluide rajeuni, et efficace, aux progrès nécessaires des métiers techniques. Merci à tous encore pour votre accueil. Et n’hésitez pas à laisser vos commentaires :-)

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Bloguer à mort | un excellent billet de Francis Pisani

Un excellent billet de Francis Pisani m’a fait comprendre que je suis loin d’être seul dans cette galère :-). Addict depuis deux ans et demi à design et typo, j’ai parfois du mal à lâcher prise. Pourtant il y a une vie après les blogs. Et ce n’est certes pas Eric Dupin qui me dira le contraire. Perso, j’ai pris 10 kilos et cessé de faire du sport (et pourtant), puis, débordé par mon travail, parfois je suis tout de même obligé de «lâcher l’affaire».

Et curieusement c’est à ce moment précis qu’on mesure le chemin parcouru. Près de 1300 visiteurs uniques sur D&T (2000 pages en moyenne) ici sur le portail du Monde, et… plus de 3000 visiteurs quotidiens sur Design et Typo le Site. (9000 pages en moyenne)

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Design et Typo le Site

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design et typo | stats “sitemeter”


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Pas mal pour un p’tit homme tout seul dans son coin. Mais je n’vous dis même pas à quel prix.
Seul je travaille et seul je vis.

Pas le temps de me chercher “une gentille”, tout juste quelques instants de joies pour voir des amis ou des copains dans la profession. Vous me direz c’est déjà pas mal. Et puis cela ne tient qu’à moi. Vous avez raison. Mais au fond le plus important, et je crois que nous touchons à l’essentiel, c’est la respiration.

Parfois nous sommes en verve et l’on “pond” des billets comme il neige là, en ce moment sur le canal, à gros flocon (un 7 avril, mince!), parfois on sèche, non par manque de sujets, ils se renouvellent au fil de nos lectures des fils RSS, mais par pure besoin de respirer, de ressentir le besoin de publier. C’est ainsi qu’entre novembre et décembre dernier je n’ai quasiment rien “posté”. So what. The most important thing is pleasure. No blog without pleasure. C’est dit.

Et là, vous l’avez senti sans doute, il y a un léger, mais sérieux relâchement. Tant mieux, tant pire :-) c’est la vie des blogs. Petites entreprises individuelles de presse expérimentale, sans contrats publicitaires, sans aucun engagement vis à vis du Monde. Je peux fermer boutique quand je veux. N’est-ce pas formidable. Là n’est pas mon intention, mais c’est pour dire qu’en aucun cas comme Francis, je n’ai envie d’y laisser ma peau. Allez bonne semaine à tous. Moi ça démarre sur les chapeaux de roues.

Via FFFFOUND aucun rapport avec mon programme pour la semaine. Private Joke!

Publié dans Opinions et Im-pertinences | Un commentaire

Marion Bataille | ABC 3D, un abécédaire inter_très_actif

Comment voulez-vous que je n’ai pas de sympathie pour Marion Bataille qui déclare ceci…«Le rituel de création est toujours le même. “Lorsqu’un éditeur fait appel à moi, je lis d’abord le texte et puis je laisse passer un peu de temps, pour m’imprégner de l’histoire et qu’une image s’impose à mon esprit» (SVMac… passeuse d’émotions). Il faut suivre ce lien pour apprendre plus sur la vie et l’œuvre de l’artiste née en 1963 et ayant un parcours exemplaire de formation aux arts graphiques.

Je ne peux m’empêcher non plus d’évoquer l’inventivité de Clotilde Olyff qui travaille de même le papier, la typo et les volumes. « Je travaille la lettre, le signe ou le pictogramme, en 2D ou en 3D. Je veux faire découvrir, redécouvrir ou faire voir autrement la forme de signes que l’on côtoie tous les jours, les conventions et les signes établis depuis tellement longtemps…» À suivre chez FontBureau par exemple ici.

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Alpha Geometrique de Clotilde Olyff chez FontBureau

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Un interview de Marion Bataille ici .

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Pour information, le livre ABC 3D sera disponible dès le mois de septembre aux éditions Albin Michel au prix de 15.50 euros (merci à Anne-Céline Drach d’Albin Michel pour avoir donné l’info).

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Adobe Flex et AIR | Applications Internet Riches au Club Photoshop le 3 avril 2008

zzzzJeudi dernier nous avons eu au Club Photoshop, à la Maison Européenne de la Photo une avalanche d’annonces de la part d’Adobe. Technologies Flex, Air, Photoshop Express et Lightroom 2.0 plus qu’il n’en faut pour satisfaire notre gourmandise habituelle pour les nouveautés high tech. Les images “film strip” à gauche sont clickables pour voir en grand les slides de la soirée.

Au fond l’ensemble de ces annonces ont pour lien commun les RIA (Applications Internet Riches) devant permettre aux développeurs de migrer sur le web 2.0 ainsi que sur les écrans des mobiles comme l’i-phone des expériences utilisateurs d’une incommensurable richesse.

C’est Michael Chaize qui fait l’intervention majeure à la tribune du Club. Il nous explique les avancées des applications Flex et Air qui consistent à interfacer les nombreuses possibilités d’HTML, Ajax, Flash et Java en applications riches portables sur toutes les plateformes (PC, MAC, Linux).

C’est une nouvelle génération d’écrans qui se pointe derrière ces innovations. Des écrans de saisie, de travail comme de consultation. Ces Applications Riches on les voit arriver depuis deux ans, mais jusqu’à présent il fallait faire de gros efforts de développements et de codage qu’Adobe se propose désormais de simplifier. Flex est une technologie passerelle qui permet d’unir des actions-scripts et d’intégrer du Javascript, de l’Ajax, du Html pour faire des applis qui seront lus par Flashplayer.

Car et c’est bien toute la philosophie de ces développements. À l’heure où Microsoft tente d’installer Silverlight sur le marché, Adobe part du constat plutôt gratifiant que Flashplayer est quasiment présent sur toutes les plateformes et tous les navigateurs. Il est mis aujourd’hui à jour, de façon transparente, et cela concerne à peu de choses près 80% du marché des navigateurs installés. À partir de ce constat, et au regard de la légèreté de Flashplayer, Adobe propose désormais de développer grâce à la technologie Flex, l’intégration de l’ensemble des applis de la marque le tout lisible par Flashplayer.

Adobe AIR (Application Internet Riche) est le pendant développeur et intégrateur des applis Flex, puisqu’il va permettre aux développeurs de combiner les différentes sources pour en faire une version transportable aussi bien sur Internet qu’en Local ou pourquoi pas demain sur l’I-Phone qui, bien qu’Apple n’ait pas signé d’accord avec Adobe, va se trouver du coup obligé de laisser faire les téléchargements AIR sur ses mobiles.

Demain vous développerez vos photos avec Photoshop sur l’i-Phone… c’est grâce à AIR. Ou bien vous vous connecterez avec Skype, toujours grâce à AIR.

Avantages vs Inconvénients:

Deux applications pour comprendre mes réserves:

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http://kuler.adobe.com/ Voilà un site que beaucoup d’entre-vous connaissiez déjà. Il est entièrement réalisé grâce à la technologie AIR. Intuitif, interactif, vous choisissez, sélectionnez, stockez vos nuanciers de coloris exportables dans un Format “Adobe Swatch Exchange Format” •ase. Le choix des couleurs et la subtilité de l’application pour changer les coloris profitent largement de la technologie. Dans ce cas précis, l’utilisateur sort grand gagnant de l’expérience.

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http://beta.searchme.com/ Ici sur le site de SearchMe, c’est le contraire qui se passe. La technologie est la même. Adobe AIR, intégration parfaite mais le sujet ne se prête absolument pas à ce développement.

Tout simplement parce que d’afficher pour chaque item trouvé par un moteur de recherche, l’image même du site, est d’une lenteur et d’un pénible qui est contraire à toute logique d’expérience utilisateur. Google avait bien compris la chose, à l’époque des débuts d’internet. Ils ont été les premiers à proposer un moteur qui restreignait l’affichage des résultats et des requêtes à du texte pur.

On lit plus vite (en écrémant les résultats textuels) que l’on ne découvre des images. Puis la surface des images, est terriblement rebutante pour aller chercher la 8e page équivalente à la huitième des requêtes de Google. Ce faisant l’utilisateur s’arrêtera à la troisième ou cinquième page ou résultat, (ce qui restreint encore plus) qui mettra en valeur uniquement les rankings les plus favorisés. Si tant est que le ranking soit correcte, ce qui dans le cas présent et après vérification s’avère catastrophique dans bien des cas.

Donc nous voilà face à deux expériences utilisateurs totalement contradictoires qui montrent à l’évidence que la maîtrise de la technologie doit s’accompagner d’expertise ergonomique et marketing au risque de développer n’importe quoi pour n’importe qui.

Conclusion:

Le monde des écrans se développe à grande allure. Sans doute que les développements récents vers l’univers des mobiles viennent de donner un coup d’accélérateur considérable à la recherche de solutions riches intégrant l’ensemble des technologies images-texte-animation-son-vidéo. Je ne juge pas, je constate que nous n’en sommes qu’au début d’une ère nouvelle.

La portabilité de Photoshop sur Adobe Photoshop Express, dont j’ai parlé dans mon précédent billet en est une preuve supplémentaire. Le futur c’est aujourd’hui. Nous sommes entrés de plein pied dans le monde du Tout Écran où le monde nous apparaît au travers de ce prisme brillant et translucide modifiant nos perceptions et nos goûts, jusque dans les styles publicitaires et marketing.

Ne nous étonnons pas de voir des logos 2.0 ou des sites e-marchands dont l’apparence ressemble à s’y méprendre à celui du voisin. Les technologies sont les mêmes que le graphiste a tendance à utiliser de façon récurrente et interchangeable. Une sorte de siècle des lumières vient de naître. Lumières cathodiques et pixelisées s’entend.

Conclusion 2:

Autres sujets abordés lors de cette réunion exceptionnelle: Lightroom 2.0 que je vous renvoie lire chez mon ami Jean-Christophe Courte d’UrbanBike présenté par Denis-Pierre Guidot (cf photos ci-dessus) d’Adobe ainsi que Jean-François Vibert, le grand spécialiste (photographe) de Lightroom et de I-View Media Pro. Un excellent billet consacré au sujet par Gilbert Volker ici, et par le *maître* incontesté en Lightroom ici (sans doute le billet pédago, le plus exhaustif)

Et bien entendu Adobe Photoshop Express que Stéphane Baril à eu la gentillesse de nous présenter en détail. Juste pour revenir sur le modèle économique de ce portail de retouche et stockage: il semble d’après D.P. Guidot, qu’Adobe dans cette version bêta n’ait pas encore arrêté “son modèle” laissant pour lors la porte ouverte à toutes les éventualités. Y compris et c’est une opinion personnelle, celle de voir la technologie rachetée par Google (Picassa) ou Flickr, pourquoi pas.

Je ne suis pas sûr du tout qu’Adobe ait le positionnement marketing grand public lui permettant de développer un portail universel de stockage photographique (et de médias autres). Voire, on peut s’interroger sur l’efficacité professionnelle (productivité) d’un tel site qui ne propose pas de partager (workgroup) des albums entre photographes et agences photo.

L’implémentation de métadonnées laisse à désirer, le traitement en batch et groupé d’une série de photographies n’est pour lors pas possible, et l’on ne sait absolument pas si l’on disposera à terme d’un interface type Camera Raw ou développement Raw à la manière de Lightroom. Mais c’est aussi la richesse de cet instant particulier dans l’évolution de nos métiers. On ne sait pas où on va, mais on y va. N’est-ce pas passionnant?

Quelques liens utiles:

http://www.adobe.com/fr/resources/business/rich_internet_apps/?ogn=FR-gntray_sol_ria_fr

http://www.adobe.com/fr/products/air/business/

http://www.adobe.com/fr/products/air/

http://www.macromedia.com/software/flash/about/index.html

Adobe Photoshop Express

Troisième Mi-Temps au Framboisy où un petit groupe d’afficionados se sont réunis pour poursuivre l’expérience AIR: Amitié Intercative Riche.



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Philippe Chaudré, notre Président du Club Photoshop de Paris
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Christian Brugeron, l’homme à la chemise mauve, le grand spécialiste des technologies Postscript, PDF et de cryptologie
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Denis-Pierre Guidot: “quoi vous comprenez rien à rien décidément”
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Un photographe motard, comme moi :-)
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Adobe Photoshop Express | nouveauté ou leurre

Comme vous tous j’ai appris la nouvelle fin de semaine dernière (je crois que c’était jeudi 27 mars), de la mise en ligne de la version bêta du site d’Adobe Photoshop Express.

Alors avant que d’aller plus loin, je voudrais vous inviter tous ce soir (eh oui :-) à la soirée-conférence du Club Photoshop de Paris qui se tient à la Maison Européenne de la Photo et dont les sujets principaux vont tourner autour:

…«Lightroom 2 et des technologies Flex et Air, deux technologies développées par Adobe et qui ne semblaient pour l’insant pas nous concerner, nous autres les graphistes et autres photographes… C’était sans compter sur l’arrivée de Photoshop Express et toutes ces voies nouvelles qui s’ouvrent ainsi : nouvelle économie, nouvelle distribution, nouveau … contrôle?». C’est donc ce soir de 18h30 à 20h45 heures à la MEP: 5/7 rue de Fourcy, 75004 Paris. (http://www.clubphotoshop.org/paris/)

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Donc Adobe Photoshop Express: nouveauté ou leurre?

Pour aller y voir, je me suis inscrit sur leur bêta-site, et commencé à procéder à une opération de téléchargement + corrections d’image.

Passé les 6 premières étapes, mon renard de feu quittait intempestivement. Une fois, deux fois, cinq fois. J’ai quitté toutes mes applis, relancé, vidé le cache. Idem. Alors voilà. Un bêta site c’est aussi le risque que cela ne marche pas. Impossible d’accéder à l’édition de l’image pour la corriger ou la retravailler. Il faudra que j’en parle ce soir à la réunion du Club. Tant pire pour moi. :-)

Étape 1 (inscription réussie)

Étape 2 téléchargement (upload) d’une photo réussie

Étape 3 la photo est bien là

Étape 4 je clique sous la photo pour dérouler le menu

Étape 5 j’arrive une fois à éditer l’image sur l’écran

Étape 6 et au moment de cliquer sur Sharpen par exemple, Firefox abandonne la partie. Au revoir Adobe Photoshop Express. Durant les autres essais, je ne suis même pas arrivé jusqu’à l’étape 5 (d’où la copie d’écran n°6 qui fait suite à l’écran N°2 de fait)

Bien entendu je ne peux absolument pas tenir rigueur à Adobe de ces dysfonctionnements. Tout d’abord parce qu’ils peuvent parfaitement venir exclusivement de ma machine. Il suffit d’un plug-in ou d’une appli dormante incompatible pour provoquer des problèmes de la sorte. Et c’est d’autant plus vrai que j’ai testé le site bêta d’Adobe sur mon Powerbook et là il a l’air de fonctionner sans aucun souci. Moi pas comprendre.

Donc Adobe Photoshop Express: nouveauté ou leurre? (suite)

Je souscris à l’idée que c’est une réelle nouveauté. Car en intégrant les fonctionalités d’un Google Picassa (manque peut-être une appli pour uploader tout un dossier-répertoire), Adobe Photoshop Express va bien plus loin et permet à celles et ceux qui n’ont pas le logiciel à demeure, ni la connaissance pour traiter les images, d’avoir un accès assez performant à la correction de leurs photos.

Reste qu’il me semble tout aussi dangereux et Adobe ne fera jamais assez d’alerte sur le sujet, car si les gens corrigent, c’est bien, mais ils se fient à leur écran. Qui, s’il n’est pas correctement calibré ou d’une qualité de résolution insuffisante, risque de détruire leurs images plutôt que de les embellir. Je ne saurais donc donner de meilleur conseil aux utilisateurs du site, de ne pas jeter leur originaux positionnés sur leur poste individuel. On peut aussi imaginer qu’Adobe ajoutera un jour une fonction «développement RAW» mais là ce n’est plus de 2 Giga que nous aurons besoin mais de vingt :-) Autre souci qu’en est-il de corrections groupés? par un script par exemple? Non, j’ai pas cherché-pas trouvé, pas le temps.

Mais il semble évident que, si ce site de stockage-traitement ne résoud pas tous les problèmes et de façon totalement efficace, il reste cependant une alternative remarquable à tous les sites comme Flickr ou Google Picassa. J’attends de voir ce qui se dira ce soir au Club Photoshop et vous en dirai plus après. Mais venez si vous avez le temps. C’est super agréable et enrichissant.

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Tiens et j’en profite pour vous joindre une super vidéo que j’ai trouvé, où l’on voit le grand Pablo Casals à l’œuvre sur une Suite pour Violoncelle de J.S.Bach.

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où l’on voit comment le cinéaste américain Robert Snyder se laissait influencer par la photographie d’un S.M. Eisenstein (Ivan Le Terrible etc.)

Publié dans De la Modernité, Méthodologie, Production Graphique, Videos | Commentaires fermés sur Adobe Photoshop Express | nouveauté ou leurre

SNCF, le logo en situation sur un immeuble haussmannien

Vous vous souvenez certainement d’un des premiers billets de design et typo, SNCF, un logo dyslexique, je voudrais juste revenir quelques instants sur la déclinaison du logo qui pour moi confirme les doutes que j’avais émises il y a deux ans et demi.

Jetez un coup d’œil sur les deux photographies ci-dessous. La première est prise au niveau de la grille d’entrée de la Gare de l’Est, la seconde, aussi mais avec un coup de zoom optique. Qu’est ce que l’on constate?

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Le manque de lisibilité “à distance” de la marque SNCF…

Comparez, le bloc marque rouge-mauve, à l’écriture en capitales de “LA GARE DE L’EST”. L’interlettrage de ces lettres composées dans une “Europe” (Futura) est mille fois plus propice à la lecture que les quatre lettres resserrées du sigle SNCF. Tous les graphistes savent cela. Ça fait même partie des bonnes pratiques en typographie de signalisation que de soigner les approches afin de garder un max. de lisibilité.

Alors que reste-t-il de ce bloc marque, un “misérable” cartouche à la forme imprécise —vue de loin— mais dont les couleurs attirent l’œil au premier regard. “Dites une couleur et un outil…” 90% pour cent des gens répondent rouge et marteau. Effectivement, pourquoi s’en faire.

Pour le logo de la Société Générale la réflexion sur la couleur relevait à peu près du même niveau. Comme pour le rond rouge de la marque ELF au début des années 70. Désolé, on est loin de la qualité de création et de réflexion que méritait cette grande Société Nationale des Chemins de Fer. Mais qui se souvient d’ailleurs du “Nationale” et des Chemins de Fer, à l’heure où le TGV va presque aussi vite que les lignes intérieurs de l’aviation civile?

La question qui me semble essentielle dans ce débat:

Cette marque ne semble pas en être une. Ce bloc-marque ressemble plus à un packaging d’une tablette de chocolat. Il s’agit plus d’une illustration alimentaire que de la représentation d’une entreprise de service de taille industrielle. Les signifiants sont bavards (par la richesse des couleurs) et anecdotiques (la forme du cartouche) et l’on ne voit pas comment on peut l’intégrer dans une stratégie marque-archi-print-web.

Bien sûr qu’il fonctionne sur le site web. On a presque le sentiment qu’il (le bloc-marque) a été conçu pour cela. De même il fonctionnera en Print lorsqu’il s’agira de signer une annonce ou un document. Les yeux à 25cm de la marque… certes. Mais lorsque vous êtes devant un immeuble haussmannien qui devrait porter l’empreinte du prestige de la SNCF, on se retrouve avec la sale impression d’une pièce rapportée à la hâte, style PLV d’une marque alimentaire, en tête de gondole.

Voilà, je peux me tromper. On peut toujours se tromper. On analyse avec ses codes personnels, ses goûts et sa sensibilité…

Je vous laisse le soin d’en débattre si vous le désirez.

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Graphic’ Christian Lacroix | histoires de mode | au musée des arts décoratifs

Christian Lacroix, histoires de mode

J’ai toujours été fasciné par le travail graphique de Christian Lacroix.

Il développe dans son œuvre de créateur de mode tout ce qui fait la qualité graphique: sens des couleurs, rythmes, codes d’élégance. Il sait admirablement utiliser les contrastes autant que les tons sur tons. Une expo à ne pas rater au musée des arts décoratifs rue de Rivoli.

Les Arts Décoratifs
107, rue de Rivoli
75001 Paris
Tél. : +33 (0)1 44 55 57 50
www.lesartsdecoratifs.fr

du 8 novembre 2007 au 20 avril 2008 à la Mode et au Textile

Christian Lacroix, l’Art consommé du graphisme

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Christian LACROIX en Haute Couture, Collections de 1999 à 2001. Patchworks de couleurs espagnoles, dentelles gitanes, bijoux baroques & barbares, croix byzantines… L’univers de LACROIX encore et toujours.

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Typographie Sci_Fi: Apple arrête définitivement la production d’ordinateurs…en 2011

“Apple arrête définitivement de faire des ordinateurs classiques en 2011, afin de se spécialiser dans ses nouveaux PDA/Ipod/téléphone.”

Un roman fleuve de pure fiction racontée par Étienne Mineur sur le site de Fluctuat.net. Un vrai délice pour les (a)mateurs de nouvelles fraîches et de délire de geek. Plus sérieusement une manière aussi de tourner en ridicule les “inluenceurs” du Wikio qui prévoient plein de choses qui sont déjà arrivées ou qui se produiront dans 2 mois.



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Une vidéo old-school: quand la Mode s’essaye aux prévisions futuristes

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