Via Coudal une fois de plus (vous avez remarqué ?) un lien pour vous faire voyager dans le noir et blanc, et les steppes hongroises où l’on élève les oies que l’on achète sur les marchés du Sud-Ouest français (ça va faire jaser). En tous cas soyez patient le générique est long, mais j’ai adoré la maîtrise de la lente progression, qui revient à dire une fois de plus que technique sans l’art de la narration n’est que de la «branlette» en plastique.
Évidemment j’en connais qui n’auront aucune patience et voudront cliquer à droite à gauche, juste pour voir… dès fois si… ben non, ça marche pas encore comme ça ;-) merci gribouille
Merci Peter pour ce moment de grâce… Ce petit film a entre autres le mérite de nous rappeler qu’il n’y a rien de plus “plastique” que le corps humain… Le corps humain est depuis le matin Grec la mesure de toutes choses… Et l’œil humain l’organe par excellence de l’imagination…