Pour ce qui est du logo, il est pas terrible. À commencer par le nom de la marque. Tout ce qui commence par Bio n’est pas forcément bio. Et là le x joue un drôle de tour (de vélo) à la marque. Ça me fait penser à cette époque où on disait traps pour trapu, balaize, ou encore siouxx pour dire malin… mais en l’occurence pour lancer la pemière marque de vélo assisté par un moteur électrique c’est un peu lège, si vous me permettez ce guimmick de vocabulaire. On reste dans une anecdote verbale, voire verbieux et du coup le logo devient aussi très anecdotique alors qu’une telle révolution va peut-être permettre à nos villes de se désengorger, plus efficacement qu’avec tous les couloirs et mobiliers urbains qui ont rendu notre capitale totalement illisible depuis quelques années.
Du coup je n’ai pû m’empêcher d’ajouter ma mauvaise foi à la politique de la ville en allant photographier une déchirure urbaine qui vous rappellera sans doute les magnifiques compositions de Dupieris Michel que je n’ai pas la prétention d’égaler ni d’imiter. Mais l’occasion était trop belle pour illustrer le parcours de combattant que nous vivons dans notre ville depuis que Monsieur Delanoë a décidé d’avoir la peau de tous les véhicules motorisés.
Système d’assistance qui rend votre vélo électrique
J’ai découvert votre blog hier, et je le trouve vraiment sympa. Bon concept et plein de bonnes découvertes…Bravo.