Via la cuisine du Graphiste

Alex Gopher – The child envoyé par aqueronte

une video que j’ai «glané»

[swf width= »412″ height= »330″]http://www.dailymotion.com/swf/3EvpUDZu3cgnv1Ey6[/swf]

chez un de mes visiteurs : Julien Josset.

et puis je me suis souvenu de cette très belle affiche de Philippe Apeloig qui couchait sur papier déjà en 1988 une sensation de move typographique… Ce n’est pas une critique de l’animation, plutôt une manière de rapprocher les choses, de révéler des tendances, des courants de pensée… c’est bien la ligne de design et typo! qu’en pensez-vous?

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0 réponse à Via la cuisine du Graphiste

  1. Soheil dit :

    Pas mal le clip, peut-être un peu long, même si c’est évidemment la durée de la chanson qui dicte la durée du film. Par comparaison, le travail de Jarratt Moody sur l’extrait de Pulp Fiction me paraît beaucoup plus abouti. Mais ce n’est pas pour ça que j’écris cette note.

    Tu vas peut-être trouver que je coupe les cheveux en quatre mais, en regardant le clip, je m’interrogeais sur la frontalité des mots TAXI et CAR. Je crois que j’aurais spontanément considéré ces mots comme étant vus de profil. Du fait de l’alignement des lettres sans doute. Et du coup je me demande si les lettres de l’alphabet sont vues de face ou de profil (ou si elles n’ont pas conservé de leur origine égyptienne la faculté d’être vues à la fois de face et de profil).

    Face à A, un T, un X ou un I, je dirais de face sans hésiter. Face à un G, un E, un F ou un L, il me semble que je trancherais pour le profil. Sans vouloir en faire une idée fixe, pour moi c’est évidemment le mimétisme qui explique notre perception des choses. Les lettres symétriques nous ressemblent, devant elles nous sommes comme face à un miroir, et les autres nous paraissent naturellement de profil. Mais sitôt que ces lettres (même les symétriques) forment des mots, toujours par mimétisme, nous les verrions plutôt se déplacer comme nous à la queue leu leu (ou comme les loups, devrais-je dire, puisqu’il faut bien appeler un leu un loup).

    C’est probablement ce phénomène de mimétisme qui explique ma gêne face à ce mot TAXI qui avance de face. Mais il est vrai je ne conduis pas et que je ne vois jamais les voitures que de profil (la seule fois que j’en ai rencontré une de face j’avais neuf ans, et j’en porte encore la cicatrice). Le réalisateur du clip, par contre, doit être un conducteur habitué à voir des taxis sans épaisseur le suivre dans son rétroviseur.